merci pour cette présentation de la stratégie d’influence !

Quelle fierté, je suis « à la une » du site www.pourseformer.fr !!

l’article est ici, bonne lecture !

J’ai déjà évoqué ce sujet de la stratégie d’influence, qui intéresse de plus en plus les managers, en formation comme en coaching: ont-ils mauvaise conscience à préparer leur argumentaire ou  leur négociation ?

Ce qui est sûr c’est que la peur de manipuler, comme le sentiment d’être parfois manipulé, est au centre de leurs préoccupations, ce qui met en valeur l’éthique et l’honnêteté de ces participants.

Mais être authentique, c’est penser tout ce que l’on dit, pas dire tout ce que l’on pense, nuance !

Et réfléchir aux points à mettre en avant ne veut pas dire cacher les points à mettre en arrière… mais seulement utiliser les raccourcis du cerveau à son profit.

Pourquoi le cerveau fait-il des raccourcis ? Si le cerveau étudiait toutes les informations dont il a objectivement besoin pour prendre une décision, les décisions seraient presque toujours prises trop tard… ce qui revient à de mauvaises décisions.

Les spécialistes de ces raccourcis en abusent parfois et nous donnent le sentiment d’être manipulés, simplement parce que nos raccourcis nous jouent des tours. Un yaourt à 0% ? je vais maigrir ! j’achète…

C’est pourquoi je terminerai par cette anecdote truculente sur les raccourcis, qui fait de nous des êtres influencés, certes, mais doués de raison et d’une sensibilité qui nous aide à discerner le bon grain de l’ivraie.:

Interview de Franck Zappa, musicien de rock, par Joe Pine, présentateur particulièrement acide qui avait dû subir une amputation de la jambe. L’interview date des années 60, époque où les cheveux longs étaient encore inhabituels et mal acceptés

•Joe Pine: Si j’en juge d’après vos cheveux longs, vous êtes une fille.
•Franck Zappa: Si j’en juge d’après votre jambe de bois, vous êtes une table.
des commentaires ?
Valentine Chapus-Gilbert

La puissance des métaphores…. suite

Pour poursuivre l’idée développée par Valentine  dans un article précedent, je vous invite à lire l’article paru dans la lettre de décembre 2012 de « Place des réseaux » sur l’utilisation des métaphore dans le domaine professionnel : Le pouvoir des métaphores, 7 clés pour mieux argumenter et convaincre.

Bonne lecture

Marine COUSIN-BERNARD

 

6 conseils pour un usage optimal du téléphone portable en réunion

Merci le site www.pourseformer.fr qui présente des conseils pratiques auxquels je n’aurais pas pense !
Celui-ci donne 6 conseils pour éviter d’être dérangé par les portables en réunion. ceux qui les consultent, ceux qui répondent aux appels, ceux qui surfent ostensiblement…
Bonne lecture, merci de m’avoir fait réfléchir sur le sujet !
Valentine Chapus-Gilbert

un article sur les collègues envahissants sur le site pourseformer.fr

merci à Marie-Pierre Nogues-Ledru pour son interview sur les collègues envahissants et l’art et la manière de marquer les limites.
vous pouvez lire l’article ici.
Je suis en effet confrontée de plus en plus aux demandes de clients autour des questions d’incivilités, ces petits désagréme nts du quotidien contre lesquels on ne sait comment agir.
j’ai ainsi pu ajouter à mon catalogue un thème supplémentaire, à la croisée des chemins entre risque psycho social et comportement assertif. le sujet est actuel et les managers qui y sont confrontés (allez, on l’avoue, la génération Y y est souvent associée !) sont fatigués de ces petites incorrections quotidiennes qu’ils ne comprennent pas.

A bientôt sur ce thème !
Valentine Chapus-Gilbert

asseoir son autorité lorsqu’on vient d’être nommé manager: merci pour l’interview de pourseformer.fr !

Comment asseoir son autorité lorsque l’on est jeune manager, éventuellement même issu de l’équipe que l’on va désormais encadrer ?
Marie-Pierre Nogues-Ledru m’a questionnée sur le sujet, son article est ici.

Bonne lecture, nous sommes à l’écoute de vos commentaires et expériences !
Valentine Chapus-Gilbert

article du Nouvel Economiste sur l’organisation de seminaire: du sens et des valeurs

Merci a Audrey Minart pour son article de fond sur les nouveaux séminaires d’entreprise dans le nouvel Economiste cette semaine ! On y présente, de manière détaillée, les tendances en matière de séminaire d’entreprise, et j’y suis citée dans l’analyse sur la recherche de sens des managers et l’utilisation de nouvelles méthodes puissantes comme le codéveloppement professionnel.

l’ensemble de l’article est ici.

Valentine Chapus-Gilbert

Comment produire efficacement à plusieurs

Je vous propose de découvrir un article en lien avec la réalisation d’un travail collectif : l’ouvrage « Comprendre le métier de consultant » :
Comment produire efficacement à plusieurs?
Bonne lecture et merci de vos retours

Marine Cousin-Bernard

La Cible : La revue francophone de management de projet

Le numéro 109 de La Cible est paru. Ce dernier numéro est en accès libre sur le site de l’AFITEP : http://www.afitep.org, rubrique « revue La Cible »« le dernier n° paru ».

Vous y trouverez en page 27, une présentation de notre ouvrage Manager par projets.

Merci à l’équipe de rédaction de la Cible

Marine Cousin-Bernard et Elizabeth Gauthier

Manager par projets : à lire pour mener à bien un projet – article paru dans la revue Manager Public – mensuel – numéro d’avril 2010

Le propre du projet est qu’il fait sortir les agents ou salariés, voire les services qui vont le mettre en œuvre de leurs tâches quotidiennes. Et, contrairement aux travaux structurels qui participent de la vie de toute collectivité, il a un début et une fin. Le mener à bien nécessite donc une organisation particulière,différente pour chaque projet.  A cela doit être associée une gestion des équipes propre à l’action en cours. Le projet peut regrouper des personnes de plusieurs services n’ayant pas nécessairement l’habitude de travailler ensemble, et doit être coordonné par quelqu’un.

Les auteures de ce livre l’ont organisé sous la forme de fiches décryptant les principes, étapes, outils et méthodes du management par projets L’un des objectifs est d’aider le cadre à animer son équipe en prenant en compte les spécificités de cette forme de management.  Mais le but est aussi de lui permettre d’avancer sans brûler les étapes, et d’être conscient de la nécessité ou non de poursuivre les travaux.

Des informations complémentaires de celles délivrées dans cet ouvrage sont mises à disposition sur le site http://www.nathan-lesechos.fr. II s’agit d’articles sélectionnés du quotidien Les Echos, de prolongements des fiches et de fichiers-outils à télécharger. II y est également possible de feuilleter et d’acheter le livre.

La vie des collectivites locales est jalonnée de projets. Cela va de la construction de nouveaux édifices publics à l’organisation d’événements ponctuels en passant par la mise en conformité des équipements ou des manières de travailler avec de nouvelles règles. Ces fiches pourront donc donner des idées, apporter des précisions ou aider plus d’un manager public territorial.

Charlotte de Lescale

Cultiver son réseau quand on est timide (témoignage de V Chapus-Gilbert)

Un bel article sur le réseau, paru sur le portail « pourseformer.fr »

pour lire l’article original cliquer ici

Cultiver son réseau quand on est timide
Accéder à des offres d’emploi non publiées, trouver de nouveaux clients, obtenir des informations au sein de l’entreprise… Utiliser son réseau est désormais indispensable. D’un naturel plutôt timide, vous ne savez comment vous y prendre ? Qu’à cela ne tienne ! Différentes possibilités existent, en fonction de votre personnalité. Conseils.

« Tant que j’étais salarié dans de grandes entreprises, je n’étais pas très réseaux, reconnaît Philippe Guiheneuc, DG de Smartline, une société de webmarkting. C’est seulement quand j’ai créé mon entreprise que j’en ai ressenti la nécessité : j’étais seul et j’avais besoin de me faire connaître. Développer mon réseau était devenu un impératif. J’ai d’abord recontacté mes camarades de promo de l’Essec puis j’ai commencé me rendre à des conférences thématiques sur les sujets qui m’intéressaient. Mais dans les cocktails qui suivaient, je me retrouvais seul, un verre à la main, arborant un sourire plaqué en attendant que quelqu’un vienne me parler… Timide, je me sentais mal à l’aise et finissais par repartir sans avoir rencontré grand monde. »

Avoir une bonne raison d’aller vers les autres

Cette situation vous est familière ? D’un naturel introverti, vous redoutez de « réseauter » car vous ne savez pas comment vous y prendre ? Qu’à cela ne tienne ! Constituer et utiliser un réseau ne répond pas à un mode d’emploi rigide, mais tient plus à la personnalité de chacun. Même les « timides », comme Philippe Guiheneuc, ont leur chance de réussir. À condition de faire preuve de créativité. Pour « avoir une bonne raison d’aller vers les autres », il a décidé de créer lui-même un club, en s’appuyant sur l’association des anciens de l’Essec. « Je me suis dit que cela me donnerait une raison valable de parler aux gens ! Et c’est ce qui s’est passé. À force d’organiser des conférences, j’ai eu un déclic et compris la mécanique des réseaux : les personnes sont là pour discuter, il suffit d’aller vers elles pour engager la conversation… C’est un état d’esprit à acquérir. »

Pour Valentine Chapus-Gilbert, fondatrice de Chapus conseil (conseil RH, formation et coaching), le réseau est « une alternative au commercial ‘dans le dur’ ! ». « Je suis très impliquée dans les réseaux. Depuis que j’ai créé mon cabinet, c’est en effet toujours par ce biais que j’ai travaillé. » Mais pour elle non plus, pas question de jouer un rôle et de faire des choses qui ne lui ressemblent pas. « Si je suis active dans mes réseaux, je suis aussi naturelle. Je ne cherche pas à contacter des ‘huiles’ pour le plaisir de faire du ‘name-dropping’*. Je m’adresse à des personnes qui sont à ma portée, avec lesquelles je suis authentique. C’est pour moi la meilleure façon de construire une relation sincère et durable avec elles. »

Objectif personnel au second plan

Sans perdre de vue leur avantage voire leur nécessité (trouver, grâce à ces contacts, de nouveaux clients, un emploi…), les adeptes du réseau sont unanimes : l’objectif personnel doit d’abord passer au second plan. L’exercice requiert donc un altruisme certain, comme l’illustre Stefan Recher. Ce directeur de marché chez Dassault-systèmes, « adore » mettre en relation des personnes qui n’en auraient pas eu l’occasion sans son intermédiaire. Tel un « chasseur de têtes », il permet ainsi à ses contacts d’accéder à des offres d’emploi pas encore publiées. « J’ai dans mon ordinateur, et avec leur accord, une banque de données de CV des personnes que j’ai croisées dans ma vie, avec qui j’ai travaillé ou qui m’ont semblées fiables. Quand j’entends parler d’un besoin, que ce soit dans mon entreprise, mais aussi chez un client ou un fournisseur, je fais simplement le lien entre ce besoin et les personnes que j’ai croisées, même des années avant ! Cela ne me demande pas grand-chose : une minute pour retrouver un CV et le faire suivre à la bonne personne. » Une activité à laquelle il s’adonne sans contrepartie, « simplement pour la satisfaction de faire correspondre une offre à une demande ». Peut-être aussi en souvenir de ses débuts dans la vie active en 1993, année de récession sévère. « Jeune diplômé, je n’ai eu personne pour soutenir ma candidature, et j’ai eu du mal à trouver mon premier job. Aussi aujourd’hui, je suis heureux de pouvoir aider une personne à avoir au moins l’occasion de se présenter à l’entretien d’embauche. »

« Ceux qui réseautent par pur intérêt, sans sincérité, n’en tirent pas grand-chose », insiste Eric Vandewalle, Account Manager chez Meadwestvaco. Cet ingénieur chimiste a commencé par s’investir dans l’association des anciens de Centrale Marseille. « L’association était en pleine restructuration et cela me plaisait de donner un coup de main. D’autant que c’était aussi l’occasion de passer du temps avec des copains de promo ! » Cet engagement lui a plu, et il a continué en rejoignant l’Unafic (Union nationale des associations françaises d’ingénieurs chimistes). « L’industrie chimique est mal considérée en France, et j’ai envie de contribuer à faire changer cette image. »

La clé d’un réseau efficace

Mais qu’on ne s’y trompe pas : la démarche nécessite un investissement personnel important. « Soigner ma visibilité dans les réseaux me demande un vrai travail et beaucoup d’énergie, reconnaît Valentine Chapus-Gilbert. J’anime le club RH des anciens de l’EM Lyon, je participe à un groupe d’échanges de pratiques au sein de la SF coach notamment. Partout, j’essaie d’apporter des idées, d’être proactive. Eric Vandewalle, lui-aussi, se souvient des mois de préparation que lui a demandé l’organisation d’un colloque sur la Chine, au Sénat, pour l’association des anciens de Centrale Marseille. Au bout de quelques années Philippe Guiheneuc a décidé de quitter la présidence de son club. « Organiser des événements représente un gros travail et mon réseau est suffisamment développé aujourd’hui. En revanche, je continue à entretenir mon cœur de réseau, mes amis camarades de l’Essec. Nous organisons des dîners réguliers, à la fois informels et conviviaux mais centrés sur nos problématiques professionnelles. »

Beaucoup d’énergie, donc, et pas d’attente de retour à court terme, voilà la clé du « réseautage » efficace. « Pour moi, c’est un processus de long terme, explique Valentine Chapus-Gilbert. Mes réseaux, je les ai constitués au fil de mes expériences professionnelles : clubs d’anciens de mon école, associations de métiers… J’aime y rencontrer des gens, je m’intéresse à eux, je ne suis ni en demande ni en offre de service. On ne sait jamais ce qui en sortira. Il ne faut pas en attendre un retour immédiat. »

Charles**, responsable grand comptes chez Orange business services (France Telecom) et grand fan du réseau au sein de l’entreprise, résume bien l’état d’esprit requis. « Je n’aborde jamais les membres de mon réseau avec des attentes, mais en me demandant au contraire : ‘Que puis-je faire pour aider cette personne ?’ C’est, selon moi, le secret de la réussite. »

L’importance du réseau interne

Désintéressés, les pros du réseau ? Pas vraiment. « J’y trouve des informations sur le marché, des contacts, éventuellement, énumère Philippe Guiheneuc, mais aussi le plaisir d’échanger des points de vue et de prendre du recul sur des problématiques professionnelles ». Pour Charles, le bénéfice est très concret : « Chez France Télécom, beaucoup de problématiques se résolvent en dehors des circuits traditionnels. Qu’il s’agisse d’obtenir des informations utiles pour un client, d’influencer une réunion dont la décision finale est importante pour vous, mais aussi d’anticiper la suite de sa carrière : tout cela est facilité quand on a un réseau interne solide. » Eric Vandewalle évoque la confiance en soi acquise en organisant des événements qu’il n’aurait jamais eu l’occasion de créer dans son métier de commercial. Organiser un colloque au Sénat ou une soirée-débat avec Jean-Martin Folz, cela fait grandir », résume-t-il. Et quand, à la fin de la soirée, un prospect avec lequel il avait le plus grand mal à briser la glace est venu le féliciter chaleureusement… Leurs relations ont été d’un tout autre ordre par la suite ! Réseauter, c’est décidément plein de bonnes surprises ! A condition d’être prêt pour une course de fond.

* name dropping : dans une conversation, habitude de lancer des noms de personnes connues, dont on se dit proche, pour se valoriser aux yeux de ses interlocuteurs.

** Le prénom a été modifié.

Manager par projets : coup de coeur du libraire : http://www.mollat.com/livres/marine-cousin-bernard-manager-par-projets-9782091610177.html

L’accroissement de la concurrence et la complexité des nouvelles techniques entraîne une multiplication des projets visant à faire évoluer les entreprises. Ces projets, s’inscrivant dans le développement du programme de management de l’entreprise, doivent être abordés sérieusement dans les phases de réflexion comme dans leur mise en place.

Les auteures, Marine Cousin-Bernard (titulaire d’un DESS de marketing et d’un DU de coaching, elle intervient depuis plus de 20 ans comme conseil auprès d’entreprises de tous secteurs d’activités ; centrée sur une approche pragmatique et des interventions sur le terrain, elle aide les entreprises à mettre en œuvre leurs changements organisationnels en privilégiant la relation humaine et la dynamique de l’action) et Elizabeth Gauthier(diplômée de l’IAE de Bordeaux, elle pratique le management de projet en France et à l’étranger depuis plus de 20 ans et conduit des interventions de conseil et de formation auprès d’entreprises du secteur banque-assurance et des collectivités territoriales : elle les accompagne dans l’appropriation de la culture projet et des pratiques managériales propices au développement du management par projets), fortes de leurs expériences, nous livrent dans ce guide indispensable toutes les clés nécessaires à la réussite d’un projet.

Sous forme de fiches, l’ouvrage illustré d’exemples et de témoignages, propose de maîtriser les principes du management de projet, connaître les méthodes nécessaires pour piloter un projet, développer sa capacité à animer une équipe et comprendre les spécificités du management par projets.
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